Le blog de JANI

Tous les ans, quand le mois de mai arrive, c'est une féerie de couleurs dans le jardin avec les roses. J'ai toujours une place pour une nouveauté qui va embellir  ma collection. Cette année, le rosier Leonardo da Vinci donne une touche romantique à mes parterres avec sa couleur rose bengale.

D'après les renseignements sur le site Ooreka, ce rosier généreux rend hommage au peintre de la célèbre Joconde. Ses fleurs composées de 75 à 80 pétales décorent le jardin sans interruption du printemps à l'automne et résistent à la pluie, le feuillage ne craint pas les maladies. Le rosier Leonardo da Vinci est un hybride moderne à grandes fleurs qui a été créé par Meilland (France) en 1994. Il a reçu la médaille d'or au concours de Monte-Carlos en 1993. Il fait partie de la série Romantica de Meilland regroupant des rosiers qui rappellent les roses anciennes. 

Pour tenir compagnie à ce charmant rosier, j'ai choisi une céanothe 'Victoria' à la floraison bleu profond. Elle fleurit de mai à juin et supporte des températures jusqu'à - 10°C. La céanothe a de nombreuses utilisations. Les Amérindiens utilisaient les feuilles séchées comme tisane, et les pionniers comme substitut pour le thé noir. Enfin, les Miwok, indiens de Californie, tressaient des paniers avec les branches de céanothe. Elle aime une exposition ensoleillée et un sol drainant. On peut la mettre en pleine terre ou en pot. 

Le nouveau rosier me plaît beaucoup mais j'ai un faible pour celui aux couleurs panachées au parfum assez fort mais tellement agréable. C'est un cadeau de fête des mères et il n'avait pas d'étiquette. Il se rapproche de Brocéliande ou Méli-Mélo d'après mes recherches sur Internet. 

Les roses 

Le printemps rayonnant, qui fait rire le jour

En montrant son beau front, vermeil comme l'aurore,

Naît, tressaille, fleurit, chante, et dans l'air sonore

Eveille les divins murmures de l'amour. 

O Sylphes ingénus, vous voilà de retour !

De mille joyaux d'or la forêt se décore,

Et blanche, regardant les corolles éclore,

Titania folâtre au milieu de sa cour,

A travers l'éther pur dont elle fait sa proie,

Tandis que la lumière, éclatante de joie,

Frissonne dans la bleue immensité des cieux. 

Beauté qui nous ravis avec tes molles poses,

Dis, n'est-ce pas qu'il est doux et délicieux

De plonger follement ta bouche dans les roses ?

Novembre 1888 - Théodore de Banville, Dans la fournaise, 1892 

Le prochain article sera consacré à la floraison de mes hoyas. 

A bientôt !

Nous avons décidé avec mon mari, de visiter le Parc de Beauval en avril, pendant nos congés. J'étais de plus en plus impatiente d'aller voir le bébé panda Yuan Meng, né le 4 août 2017, ainsi que les autres animaux de ce grand parc zoologique de 40 hectares.

Situé à Saint-Aignan dans le département du Loir-et-Cher à 200 kilomètres environ de chez nous, le Parc de Beauval participe à la préservation de la biodiversité en soutenant 40 programmes de conservation et de recherche dans le monde. Voir la page Internet du ZooParc de Beauval pour plus de renseignements ou leur page Facebook. 

A l'entrée, un plan est offert pour découvrir les nombreux territoires des animaux dont deux nouveautés cette année, Le Territoire des Guépards et Le Clan des Loups. Dès le début de la visite, j'aperçois les lémuriens qui se prélassent sur le toit de leur cabane, profitant des premiers rayons de soleil du matin. Sur leur île, les flamants, aux couleurs chatoyantes, attirent mon regard ainsi que les canards exotiques au plumage bariolé. On a le choix ensuite de prendre différents chemins. J'ai une préfèrence pour celui qui mène " Sur Les Hauteurs de Chine " ! Dans l'ensemble, c'est très bien indiqué grâce aux panneaux. La végétation assez dense donne un côté un peu sauvage. De nombreux endroits pour se restaurer sont présents pour les gourmands. 

Je vous propose de continuer la visite en photos et vidéos. 

Le Parc de Beauval est vraiment agréable à visiter et je vous le recommande !

Pour la 9ème année consécutive, le salon des orchidées qui se tenait dans la salle Georges Brassens à Feytiat, le 3 et 4 mars dernier, m'a une nouvelle fois émerveillée. On ne reste pas insensible longtemps devant de telles beautés. Les exposants (producteurs) venus du grand sud et du centre, nous ont fait découvrir ce monde végétal fascinant. Le stand de Liloo, Laurie Rousset et Gilles Maurin, producteurs en Ardèche, présentaient leurs Tillandsias et plantes carnivores. L'Amicale des Donneurs de Sang Bénévoles de Feytiat invitaient à venir donner son sang.

J'ai réalisé une vidéo de ma visite. 

Les orchidées forment la famille qui compte le plus d'espèces, 25 000 à 35 000 selon certains auteurs, regroupées en 850 genres valides. Chaque année, on découvre entre 100 à 200 nouvelles espèces, en particuliers sous les Tropiques. 

Les fossiles de plantes à fleurs sont rares. Le plus ancien et avéré fossile d'une orchidée est vieux de 15 à 20 millions d'années. Il fut retrouvé en République Dominicaine et consiste à des masses polliniques (amas de pollen) caractéristiques et collées sur le corps d'une abeille d'une espèce aujourd'hui éteinte et conservée dans un morceau d'ambre. On nomma Meliorchis ce fossile. Les orchidées seraient apparues  au début de la période de l'ère tertiaire qui s'étale de 55,8 à 33,9 millions d'années. D'autres études d'ADN, suggèrent 90 à 100 millions d'années.

(Extrait de l'Encyclopédie des orchidées tropicales de Pascal Descourvières)

Galerie photos de ma visite 

Mes achats !

J'ai choisi une orchidée hybride, deux Restrepias (orchidées miniatures) au producteur Orkinabalu localisé à Arsac et deux Tillandsias au producteur Liloo. 

Restrepia antennifera est une orchidée de Colombie et Venezula (1 500 - 3 500 m) - Certains pieds atteignent une vingtaine de cm de hauteur. Le synsépale parfois très grand (plus de 5 cm de long) est jaune or rayé pourpre. 

Restrepia guttulata est une belle espèce à large répartition (Vénézula au Pérou, 1 700 à plus de 3 000 m d'altitude) très variable. Ramicaule de 8 à 20 cm de haut, feuille de 5 à 10 cm de long. Synsépale long de 3 à 5 cm, 10 - 15 mm de large, blanc, jaune ou rose moucheté de pourpre foncé ou de brun. 

(Renseignements extraits du livre Encyclopédie des orchidées tropicales de Pascal Descourvières).

J'ai installé mes deux petits pots dans un plus grand récipient rempli de billes d'argile imbibées d'eau. Les Restrépias aiment l'humidité.

Le producteur Liloo m'a donné une fiche de culture avec mes Tillandsias.

Tillandsia Caulescens x Tenuifolia et Iuncea se cultivent avec beaucoup de lumière, tout en évitant le plein soleil. Les Tillandsias supportent des températures de 5 à 35°. Une vaporisation à l'eau non calcaire (eau minérale) une à trois fois par semaine est nécessaire. Ces filles de l'air n'ont pas besoin de terre, un support sec suffit comme un coquillage, un bout de bois, une soucoupe, etc...

Tillandsia est une plante qui fait partie de la famille des Bromoliacées. Ce sont des plantes grasses qui vivent des Etats-Unis au Chili et connaissent les climats les plus divers. Ces plantes dites " épiphytes " ne sont pas des parasites, elles se nourrissent de l'air ou le végétal trouve eau, sels minéraux et gaz carbonique. 

A bientôt !

Cet hiver, j'ai observé avec plus d'attention les oiseaux de mon jardin. J'ai posé des barquettes de margarine, des boules de graisse et de l'eau sur le bord de la fenêtre côté jardin comme je le fais d'habitude. Ils apprécient cette nourriture durant la période de l'année où la nature n'est pas très généreuse avec eux. Dès le matin de bonne heure, les oiseaux se perchent sur le noisetier placé près de la fenêtre et Ils viennent  manger chacun leur tour. D'abord, j'aperçois le merle, ensuite la merlette, le rouge-gorge patiente sur une branche, les mésanges arrivent un peu plus tard, ce sont les plus bruyantes. Les bébés mésanges ont bien grandi depuis le mois de mai. C'est en les photographiant, que j'ai découvert qu'il y avait d'autres espèces comme le Grosbec casse-noyaux, le Tarin des aulnes, le Pigeon ramier, la Pie, le Chardonneret élégant, le Pinson des arbres. 

Voici quelques photos de mes petits protégés !

Le Grosbec se distingue des autres Fringillidés par sa silhouette massive et trapue. Il fréquente les bois, les campagnes bordées d'arbres, les vergers, les buissons. Il se nourrit de fruits et de graines de différentes plantes (sapins, chênes, hêtres, arbres fruitiers), et en particulier de graines de tournesol, de chanvre et d'aubépine. Au printemps, il chasse aussi les insectes et les larves. Il se pose de préférence sur le sommet des arbres et à terre, où il mange, sautille ou se promène en se tenant droit. Il est souvent sédentaire ou erratique en hiver selon les régions et les années. 

J'ai ajouté à mes photos quelques renseignements extraits d'une encyclopédie de poche LES OISEAUX, aux éditions Gründ. 

Le Chardonneret élégant est un petit oiseau très gracieux et assez répandu. Il affectionne les vergers, les parcs, les campagnes cultivées et les friches. Il se nourrit de graines de chardons et de conifères, occasionnellement d'insectes. le chardonneret est migrateur partiel : les populations les plus nordiques descendent au sud en hiver. 

En France, le Pinson des arbres est généralement sédentaire. Les populations nordiques arrivent en grand nombre en automne-hiver et s'arrêtent dans les collines ou les plaines, près des champs et des oliviers. Au printemps, il préfère la fraîcheur des régions de montagnes, près des milieux boisés au bord de l'eau. Il fréquente également les parcs et les jardins, et vit aussi dans les grandes villes. Il se nourrit de graines, de bourgeons et de petits fruits. Il chasse les insectes, des larves et d'autres petits invertébrés au printemps et durant l'élevage des oisillons. Il n'est pas nuisible pour l'agriculture car il préfère les graines sauvages. 

Le Tarin des aulnes fréquente les forêts de conifères et les bois mixtes. En hiver, on peut l'apercevoir dans d'autres milieux, comme les bois d'aulnes près des rivières ou des champs. Au printemps, il préfère les conifères. Il mange surtout des graines, mais nourrit les oisillons avec des insectes et des larves. Suivant les régions, il peut être sédentaire, de passage, ou visiteur d'hiver. 

Le Rouge-gorge familier (s'écrit aussi Rougegorge) fréquente les forêts avec un riche sous-bois, les broussailles et les haies. En hiver, il se tient près des habitations humaines. Son chant est varié et mélodieux. Son régime alimentaire est essentiellement à base d'insectes, mais il se nourrit aussi de petits mollusques ainsi que de fruits et de graines. Il niche dans une haie, au pied d'un arbre ou dans un mur, aussi bien dans les bois que dans les parcs et les jardins. En France, il est présent toute l'année et répandu partout. Il est très utile pour l'agriculture. 

Le Merle noir est l'un des oiseaux les plus connus et les plus répandus. Il est essentiellement arboricole. Il vit seul et son régime alimentaire est mixte, surtout frugivore en automne et en hiver, où il mange aussi les baies du lierre. Aux autres saisons, il se nourrit principalement d'insectes et de petits invertébrés. Il a une voix forte, avec des cris variés et il émet une sorte de ricanement retentissant lorsqu'il se cache dans les buissons. Il sait imiter le chant des autres oiseaux. Le merle noir fréquente les bois, surtout avec des clairières et un riche sous-bois, les campagnes, les parcs et les jardins, également en ville. On le voit peu dans les forêts de conifères. C'est un migrateur partiel. Plutôt sédentaire dans nos régions, qui accueillent toutefois des visiteurs d'hiver. Avec son chant, il agrémente les parcs et les jardins. Il est utile à l'agriculture au printemps. Pendant d'autres saisons et s'il est nombreux, il peut endommager les vignobles et les vergers. 

Le Pigeon ramier est le plus grand et le plus commun des espèces européennes. Il revient au nid initial de génération en génération pendant des dizaines d'années. Les populations ouest-européennes sont erratiques et sédentaires, tandis que les populations du nord et de l'est sont migratrices. Les populations migratrices au long cours franchissent les Pyrénées pour hiverner dans la péninsule ibérique, où elles s'alimentent de glands. 

Le régime du pigeon ramier est constitué de matière végétale (feuilles, baies, bourgeons, fleurs, racines et graines), les invertébrés sont consommés occasionnellement. 

A l'origine son habitat était essentiellement forestier, mais ce milieu sera d'autant mieux colonisé s'il est bordé d'espaces dégagés mis en culture ou si la forêt est parsemée de clairières cultivées. Des nichées ont été découvertes au dessus de  1 500 mètres dans les Alpes et 3 000 mètres dans l'Himalaya en été. Les bois de chênes et d'aulnes et les jeunes plantations de conifères sont volontiers utilisés pour nicher. Le ramier est le plus chassé en Europe. 

Source Wikipédia 

La Mésange bleue habite jardins, bois et forêts, de feuillus de préférence, et fait son nid dans les trous. On la reconnaît au bleu vif et brillant de la tête, des ailes et la queue. Elle se différencie de la Mésange charbonnière par l'absence de barre au milieu du ventre. Elle se nourrit d'insectes et de graines. En France, elle est sédentaire ou de passage, selon la région. 

La Mésange charbonnière est la plus connue et la plus répandue des mésanges. Elle fréquente surtout les futaies, les taillis et les jardins. Elle se nourrit d'insectes et de leurs larves, d'araignées, de limaces, de vers de terre et de graines. En hiver, elles apprécient les aliments riches en graisses, comme le lard, voire le lait. Elle goûte aussi les baies et les bourgeons. Dans nos régions, la mésange charbonnière est plutôt sédentaire. Elle peut devenir erratique en hiver. Les populations nordiques migrent en octobre et en février et se rendent en Europe occidentale. 

Vivement le printemps pour que tout ce petit monde ailé profite du soleil qui se fait rare en hiver. Leur présence apporte de la gaité au jardin par leurs chants et leurs multiples activités. C'est un plaisir de les observer. De plus, les oiseaux sont utiles (insectivores) pour sauvegarder l'équilibre écologique. Le déboisement, les pesticides, les insecticides, sont en partie responsables de leur déclin. 

Je rajouterai des photos et vidéos à cet article, si je découvre de nouvelles variétés. 

Depuis la publication de cet article, j'ai aperçu une Mésange noire. Elle se distingue des autres mésanges par sa tête, sa gorge et son menton noir brillant, sa nuque et ses joues blanches. Le dessus de son corps est gris vert olive avec deux barres alaires blanches. Le dessous est blanchâtre teinté de brun sous les flancs. Elle affectionne les régions boisées, notamment les forêts de conifères, et se nourrit d'insectes, de graines et de baies. C'est une espèce très sociable. Elle est sédentaire et niche, dans nos régions, dans les forêts montagnardes. Elle est plutôt erratique en plaine. 

J'ai aperçu aussi un Pic épeiche. Sa brève visite ne m'a pas laissé le temps de faire une belle photo, j'ai juste un cliché un peu flou à travers les branches du noisetier. J'espère bien le revoir !

Le Pic épeiche a le dos noir avec une grande tache blanche sur l'épaule. Les sous-caudales sont rouges, le dessous du corps est blanc uni. Le mâle a une tache rouge sur la nuque. Il vit dans les bois mixtes, les parcs et les jardins. Il se nourrit d'insectes, qu'il trouve sous l'écorce des arbres, de leurs larves et de graines. Il mange occasionnellement des œufs d'oiseau et des fruits. Parfois, il se nourrit à terre. Il a des habitudes semblables à celle du Pic vert. En France, il est sédentaire. C'est une espèce utile dans les forêts. 

J'ai réalisé une vidéo de mes floraisons de l'année 2017 pour vous souhaitez une bonne et heureuse année 2018 ainsi que la santé et prospérité ! Prenez soin de vous ! 

Avec l'été indien qui s'est installé en octobre, mes hoyas ont aimé cette période de redoux au coeur de l'automne. Mais le froid arrive et la période de repos va commencer pour mes plantes. 

Comme j'ai déjà des articles sur hoya pubicalyx 'Pink-Sylver', multiflora, siariae et linearis, je mets les liens avec mes photos récentes. 

Bon Halloween et à bientôt !

La Vendée est une région très attrayante, idéale pour les loisirs, la découverte et la détente.Jusqu'à présent, je n'ai visité que les Sables d'Olonne, Bretignolles-sur-Mer, l'île de Noirmoutier, le jardin des Olfacties, et le Puy du fou avec ses spectacles grandioses. J'espère bien y revenir en vacances ou le week-end en famille. 

Je partage avec vous mes photos des différents endroits que j'ai énuméré ci-dessus.

Les Sables d'Olonne

30 septembre 2017 

Décors de coquillages dans le quartier de l'Ile Penotte aux Sables d'Olonne

25 mai 2014

Bretignolles-sur-Mer

Août 2015

Saint-Gilles-Croix-de-Vie

Août 2015

Noirmoutier, août 2015

Depuis 1971, l'île de Noirmoutier de 10 km de long du nord au sud est reliée par un pont qui enjambe le couler de Fromentine. On peut accéder aussi par le passage du Gois, une route dallée de 4,5 km de long accessible à marée basse.

Le Puy du Fou

Août 2015

Le jardin des Olfacties à Coëx

Août 2015

Les 3 500 variétés de fleurs sur 5 ha vous charmeront. La promenade dure environ deux heures. On découvre de nombreuses senteurs et différentes ambiances. Un vrai paradis pour les amoureux des plantes ! 

A bientôt !

J'ai réservé des places dès que j'ai vu l'annonce du concert de Nuno Resende, au Havre d'Olonne, le 30 septembre dernier. L'événement a été organisé par l'association Etincelle qui s'est donnée pour but de médiatiser les " enfants papillons ", et de faire un don à l'association Debra France, pour soutenir la recherche sur l'épidermolyse bulleuse. Cette maladie, qui touche surtout les enfants, se manifeste par des bulles à la surface de la peau et à l'intérieur des muqueuses provoquant d'atroces douleurs. La jeune Maëlle, atteinte de cette maladie génétique, était l'ambassadrice de la soirée. 

 Aurélie Jieffe et Jean François Oricelli ont fait la première partie du concert de Nuno Resende avec brio. Ils ont aussi assuré deux fois celle de Christophe Maé en avril et le 28 septembre au Zénith de Nantes. Christophe Maé leur a offert une chanson "Ayo" qu'on a eu le plaisir d'entendre ainsi que le dernier titre composé par Aurélie " Dis-moi que j'ai tort " et des moins récents. J'ai adoré leur version de "La mama". Je la préfère même à l'originale. Ensuite, Nuno a rejoint Aurélie sur scène. Leur duo m'a beaucoup plu sur "Stand by me" de Ben E King et "J'irai où tu iras" de Céline Dion et J.J. Goldman. Le moment le plus émouvant est arrivé lors de la remise du cadeau d'anniversaire à la jeune Maëlle. Nuno et Aurélie en interprétant "Je l'aime à mourir" de Francis Cabrel, nous ont fait monter les larmes aux yeux. La sublime version "Hallelujah" de Nuno nous a aussi beaucoup bouleversé avec des notes magiques dont lui seul a le secret. Jean François Oricelli qui l'accompagnait à la guitare a ajouté une ambiance très chaleureuse. Nuno a enchaîné sur des thèmes qui lui sont chers comme les titres de comédies musicales, "L'envie d'aimer", "Le temps des cathédrales", des chansons de crooner "Fly me to the moon" de Franck Sinatra et "Fever" d'Elvis Presley, de la pop aussi. Sur la musique latine, il est top ! C'est toujours d'excellente qualité. On aimerait que ça continue jusqu'au bout de la nuit!

Ce concert sous le signe de l'émotion, la convivialité, la générosité et l'amitié restera inoubliable. Un grand merci à Carole et son association Etincelle et aux artistes !

Vous pouvez allez visiter la page d'Etincelle pour voir plus de vidéos et de photos du concert. Cliquez sur le lien ci-dessous. 

Lien vers le site officiel de Nuno Resende pour voir toute son actualité. 

Je réserve ma prochaine sortie pour le spectacle musical GUILLAUME TELL écrit et composé par Stéphane Métro avec Nuno Resende dans le rôle principal et une distribution d'artistes renommés. C'est aux Folies bergères à Paris le 17 et 18 novembre 2017. Voir sur sa page officielle pour plus de renseignements ou la page Facebook de Guillaume Tell - le spectacle musical. 

A bientôt !

Le mois d'octobre commence bien avec cette première floraison de hoya pubicalyx 'Pink Silver'. J'avais reçu une bouture de chez Paul Shirley début novembre 2009. Elle a raciné très vite. Sa culture est vraiment facile puisque ce hoya supporte des écarts de températures de 5°C à 20°C. J'ai utilisé un substrat aéré de terreau, de sable et d'écorces. Il est orienté à l'ouest près de la baie vitrée. Son parfum est vraiment très fort mais agréable. Originaire des Philippines avec un climat tropical, il s'acclimate aussi très bien dans nos régions. Je le recommande aux débutants. 

Hoya davidcummingii continue de plus belle ses floraisons ! 

A bientôt !

Psychopsis Mariposa a choisi le début de l'automne pour fleurir. Je l'avais acheté en mars 2016 au salon de l'orchidée à Feytiat, mais il semblait ne pas s'acclimater à ma véranda. Cette année, il va beaucoup mieux avec des signes de reprises encourageants, nouvelle feuille, sublime floraison et un nouveau bouton. La fleurs est originale avec son sépale dorsal et ses deux pétales dressés en forme d'antennes. 

 C'est une espèce très proche de Psychopsis papilio. Sa hampe très longue donne des floraisons successives en forme de papillon et elle peut fleurir durant quelques années. 

L'orchidée est dans un petit pot garni de morceaux d'écorces. J'arrose régulièrement pour maintenir une bonne humidité tout en laissant un peu sécher entre deux arrosages, apport d'engrais une fois par semaine. Je l'ai installé derrière la baie vitrée orientée à l'ouest. 

Sur mon encyclopédie des orchidées tropicales, ils conseillent de vaporiser la plante entièrement sans engrais, si elle entre en période de repos. 

L'automne m'apporte aussi des promesses sur mes hoyas siariae multiflora, pubicalyx, linearis, malgré le temps pluvieux. David cummingii et kohleria (Jardin de Monet) sont très généreux toute l'année. 

A bientôt !