C'est dans un joli coin de France, à Saint-André de Sangonis situé en Languedoc Roussillon, que Nuno Resende donnait un concert privé au restaurant musical La scène, le 27 mai dernier. Mon article vient un peu tardivement mais mieux vaut tard que jamais !  

Cet évènement a eu lieu après sa tournée en Asie de Mozart L'opéra rock.

Je rappelle que Nuno Resende a une belle carrière avec 20 ans de comédies musicales, The Voice et Latin lovers. 

Lien pour suivre son actualité :

Nuno Resende.net : Toute L'actualité De Nuno Resende - Site Officiel

Je décidais donc de me rendre à cet évènement avec mes enfants.

Pendant le voyage, nous avons pu admirer un panorama de toute beauté en passant sur le viaduc de Millau dans la région midi-Pyrénées. Arrivés à Saint-André de Sangonis, nous avons posé nos valises dans un hôtel très accueillant avec piscine, M'HOTEL. Après une pause de deux heures, c'était l'heure d'aller au concert. 

Le restaurant musical La scène est très convivial et le menu excellent, je le recommande. Nous avons adoré la prestation de Nuno qui comme à chaque fois nous a charmé avec son incroyable voix. Le cockail qu'il nous a proposé était composé de musique pop et de soul additionné d'une bonne ambiance. C'est un pur bonheur d'aller à ses concerts ! J'ai été ravie aussi de retrouver quelques amies et la séance de dédicace que l'artiste nous a accordé. 

 Nuno Resende revient au Restaurant La scène le 16 septembre  2016, alors n'hésitez pas à réserver votre place !

(1) Restaurant la scène

A bientôt ! 

Je rajoute à mon article son nouveau clip vidéo " Dimanche de pluie " du 25 septembre 2016. 

Merci de partager !

On dit que tout ce qui est petit est mignon, c'est bien vrai avec ce duo d'ombelles de hoya myrmecopa et hoya lucardenasiana. 

Je ne vous présente plus lucardenasiana que vous connaissez bien maintenant grâce à mes photos et articles précédents. Je vais plutôt parler de myrmecopa qui est un hoya assez sympathique et facile de culture. 

Ce hoya myrmecopa GPS 8842 vient de chez Paul Shirley, un producteur hollandais. Depuis sa réception en août 2011, il a fleuri une fois. 

Lien de mon article à sa réception : 

Hoya padangensis et les autres - Le blog de JANI

Voici quelques renseignements grâce au site de Pakehas, un passionné de hoyas :

Hoya myrmecopa GPS 8842 est originaire d'Indonésie, Sulawesi, Célèbes. De Climat équatorial, cette espèce épiphyte et myrmécophile est proche de hoya lucardenasiana et carmelae. 

Il se plaît dans un substrat aéré, racinage et culture facile. Il se développe assez bien. Il aime être maintenu humide avec une lumière indirecte à une température comprise entre 10°C à 25°C. Le parfum de l'ombelle est fort.

A bientôt !

Ce mois d'août me réserve de belles surprises avec la floraison inédite de mon hoya fitchii. La bouture vient de chez Aleyagarden, un producteur de Thaïlande. Elle est arrivée en juin 2012 et ne grandissait pas beaucoup malgré son orientation derrière ma baie vitrée orientée Sud-Ouest.

Voici un lien de mon article à sa réception : 

Présentation de mes boutures thaïlandaises - Le blog de JANI

J'ai relevé quelques renseignements sur le site de Pakehas. Hoya fitchii est originaire des Philippines, Luzon. Espèce diffusée précedemment sous le nom H.sp.CMF 8, puis hoya cagayanensis, proche de hoya chuniana. Climat : Tropical Mousson. Il est épiphyte au développement moyen, il aime un substrat aéré et une lumière directe. Le parfum des fleurs est agréable et il se plaît à une température de 10°C à 25°C. Arrosage indifférent. 

En ce qui concerne mon mode de culture, j'utilise du terreau de rempotage pour plantes d'intérieur et du SuperThrive et purin d'ortie pour l'engrais, eau de source ou eau du puit à température ambiante. 

Je rajoute le lien du site de Pakehas qui donne des précisions : 

PaKehas

A bientôt !

On peut dire que cet hoya lucardenasiana mérite à être connu. Florifère, odorant, facile de culture, il n'a que des qualités. Je le recommande aux débutants ! 

Lien de mes articles sur lucardenasiana pour en savoir un peu plus à son sujet :

Première ombelle sur mon hoya lucardenasiana ! - Le blog de JANI

Si tout va bien, je devrais avoir une première ombelle sur hoya fitchii prochainement ! 

A bientôt !

J'ai acheté Habenaria medusa en novembre 2010 chez Schwerter Orchideenzucht. La floraison de cette orchidée terrestre est un vrai plaisir pour les yeux. 

Liens de mes anciens articles à son sujet :

Floraison d'Habenaria medusa - Le blog de JANI

Haraella retrocalla ou odorata (orchidées miniatures) - Le blog de JANI

Je la cultive en véranda, orientée au Sud. J'utilise de la sphaigne comme substrat. Arrosage au pulvérisateur deux à trois fois par semaine dont un arrosage avec de l'engrais ou SuperTrive, un peu de purin d'ortie dilué une fois par saison, réduit en hiver. Habenaria supporte des écarts de températures de 12°C à 25°C. Sa culture me paraît facile, en tout cas elle se plaît chez moi.

Quelques renseignements de plus sur Habenaria medusa pour compléter ma documentation

Extraits tirés de L'encyclopédie des orchidées tropicales 

de Pascal Descourvières

C'est une orchidée terrestre qui se plaît à mi-ombre, climat tempéré chaud. Cette splendeur du monde végétal est originaire de Bornéo, Java, Sulawesi et Sumatra, et sans doute du Laos et Vietnam, en altitude peu élevée. Ses hampes de 60-80 cm portent jusqu'à plus de 15 fleurs de 8 cm de diamètre environ. Les sépales et pétales verts forment un petit "casque" au-dessus de la colonne. Le labelle, blanc pur, très grand, est finement divisé et il porte une tache rouge vif à sa base. Période de repos plus ou moins marquée.  

Autres Habenaria : Habenaria glaucifolia, Habenaria lindleyana, Habenaria praestans, Habenaria rhodocheila.

HABENARIA Willdenow

Classification : Orchidoideae, Orchideae, Orchidinae

Etymologie : Du latin habena (bride), en référence à l'aspect lacéré du labelle.

Distribution : Pantropicale. Toutes les zones tropicales et subtropicales du vieux et nouveau monde, exceptées les zones les plus désertiques. 

Description : Un genre immense qui compte plus de 800 espèces, le plus souvent terrestres, et qui sont pérennes grâce à leur tubercule souvent garni de poils et enfoui dans le sol (un second étant en préparation dès la floraison pour la végétation suivante). Davantage d'études, en particulier moléculaires, seront nécessaires pour mieux cerner ce genre polyphylétique qui pourrait être divisé en plusieurs genres. 

De larges répartition, les milieux de vie sont donc très divers, mais le plus souvent les Habenaria croissent dans des prairies, parfois même en bord de chemin, mais aussi en zone marécageuse, parfois en forêts pluvieuse, de niveau de la mer jusqu'à de très hautes altitudes (3 600 m et sans doute plus). une espèce (Habenaria repens Nutt., d'Amérique tropicale) est semi-aquatique, ce qui est fort rare pour des orchidées ! Certaines espèces sont endémiques de zones très restreintes et peuvent être en danger d'extinction, tandis que d'autres ont une très large répartition géographique. Notons que les tubercules de quelques espèces sont utilisées en Afrique pour de la magie ou de la sorcellerie...

Entre deux végétations, après la fructification, le plus souvent, les parties aériennes meurent et c'est une période de repos. L'inflorescence terminale porte d'une à un assez grand nombre de fleurs, parfois de grande taille, généralement résupinées et de couleur blanches ou verdâtres, rarement jaunes ou rouges... Sépales libres. Le sépale dorsal forme souvent un casque avec les deux pétales latéraux, mais pas toujours, selon les espèces ! Labelle parfois entier, mais plutôt trilobé, et muni à sa base d'un éperon à nectar. Lobes latéraux du labelle lacérés : ainsi, chez de nombreuses espèces, le labelle est d'une forme extraordinaire ! Habenaria est proche du genre Bonatea Willd., dont il se différencie par des caractères vraiment minimes...

Culture : De nombreuses espèces sont faciles à cultiver si l'on respecte non seulement les températures adéquates (fonction du climat d'origine de l'espèce), mais aussi la période de repos au sec et qui est plus ou moins longue. Rempotage lors de ce repos. Il suffit d'un peu de doigté pour suivre le cycle naturel de la plante. Comme substrat, on conseille la sphaigne ou les terreaux. Floraison plutôt au printemps ou en été. 

A bientôt !

Quand je vais dans une jardinerie, c'est bien rare que je ne craque pas pour une ou plusieurs plantes. Une rangée de hoyas, suspendus en bas d'une étagère, attendaient sagement qu'on vienne les choisir. Les étiquettes indiquent le nom de gracilis, mais j'ai un doute sur l'identification car les feuilles ne sont pas tachetées. Je pense plutôt à hoya davidcummingii en regardant les photos sur le site de Pakehas. J'en suis ravie ! 

PaKehas

Mon deuxième achat est un sachet de bulbes de crocus sativus. J'en avais déjà cultivé dans une jardinière pour le safran. Je mets le lien de mon article qui donne plein de renseignements sur cette plante intéressante. 

Floraison de mon crocus Sativus L. - Le blog de JANI

Le troisième achat est un nain de jardin qui ressemble plutôt à un nain d'étagère tellement il est petit. Je l'ai placé sur une étagère de ma véranda. Peut-être un début de collection ! 

Je vais profiter de mes vacances pour faire un grand nettoyage de ma véranda, rempoter mes plantes et monter de nouvelles étagères, etc... 

A bientôt !